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discrimination positive - Page 4

  • Offensive sur la République française : ils sortent l’artillerie lourde !

    Aujourd'hui a paru, dans le Journal du Dimanche, un tir d'obus sur les principes qui constituent le socle des valeurs fondamentales qui sculptent la société française. L'offensive est menée par Yazid Sabeg, un richissime homme d'affaires d'origine algérienne. Il est escorté par Carla Bruni-Sarkozy, qui figure en première page du journal.

    Après une menace à peine voilée à la France, « Nous sentons partout la crispation identitaire, des sifflements de la Marseillaise aux rappels à l'ordre civiques qui restent vains et incompris », l'appel de Yazid Sabeg met notre pays en accusation : « Mais quelle conception de l’homme faut-il se faire pour accepter que l’élite économique, politique, sociale, y reste une chasse gardée ? », pour finalement sommer la République française d’abandonner l’égalité républicaine, pour lui substituer un système de privilèges à la naissance, selon l'origine ethnique ou raciale.

    Voici les termes contenus dans la pétition, derrière lesquels se cache très habilement la discrimination positive :

    • égalité réelle
    • politiques résolument volontaristes pour l’équité et la diversité
    • actions positives
    • systématiser les politiques volontaristes de réussite éducative et la promotion des talents dans les quartiers populaires
    • inciter fortement les employeurs et le premier d’entre eux, l’État, à mettre en place des politiques de promotion de la diversité, fondées sur l’obligation de résultat [traduisez : mettre en place des quotas basés sur les statistiques ethniques et raciales]
    • soumettre les partis politiques à un pacte national de la diversité et organiser un Grenelle de l’égalité réelle et de la diversité

    Devant cette offensive d’ampleur inégalée, dans laquelle l’épouse du Président de la République française utilise sa position pour soutenir une pétition qui dénigre ouvertement la France, une entreprise qui vise à diviser les Français et les trier selon leur origine ethnique et raciale – division porteuse du ferment d’affrontements ethniques et raciaux dans notre pays, j’en développe les raisons en long et en large dans Le puzzle de l’intégration ;

    devant cette offensive dans laquelle le Président du groupe des Députés UMP, Jean-François Copé, apporte sa signature à une pétition dont le but est d’enterrer le pacte républicain qui lie tous les Français ;

    à la veille de la réception par le Président de la République d’une association qui a basé tout son combat politique sur la nécessaire repentance de la France, j’ai nommé le Conseil Représentatif des Associations Noires ;

    il devient urgent et de la plus haute importance que chaque citoyen français, dans le calme et avec une sérénité déterminée et de chaque instant, relève la tête avec fierté, et s’engage pour aider la France – le bien le plus précieux que nous avons la responsabilité de léguer pacifié à nos descendants – à faire barrage à toute tentative de déstabilisation ! Oui, chaque Français, car les communautaristes sont désormais très puissants. Ils ont investi toutes les sphères du pouvoir médiatique et politique. Les trois pages du JDD nous démontrent que nous n’avons pas affaire à des individus esseulés aux faibles moyens.

    Nous réussirons, car nous n’avons pas d’autre choix. Nos élus ont pour mission première de veiller sur nos fondamentaux. Allez vers eux. Ils ont aussi besoin de notre soutien afin de résister aux pressions qui s’exercent sur eux.

    Catégories : Discrimination positive, Politique
  • Doux aux oreilles et si chaud au cœur !

    Tandis qu‘un déluge de sottises, d‘opportunisme et d‘ignorance s‘abattait sur la France ces dernières heures, j‘ai entendu quelques paroles porteuses d'espoir qui ont résonné si doux à mes oreilles et ont enveloppé mon coeur d‘une si réconfortante chaleur, que j‘aimerais les partager avec vous :

    Commentaire politique de Christophe Barbier sur LCI : « Il faut surtout bien écouter, ce matin, le discours de Barack Obama : du 27 juillet 2004, quand il parle à la convention américaine qui investit John Kerry, jusqu‘au 4 novembre 2008, il dit la même chose : “Je ne suis pas un candidat noir. Je ne suis pas un candidat de l'Amérique noire. Je ne suis pas le remords de l'Amérique pour l'esclavage. Je suis Américain et c‘est plus qu‘être Blanc ou Noir !” C'est ce discours-là qu'il faut adapter à la réalité française. Il faut que la communauté noire, tout en étant extrêmement revendicative, tourne le dos à tout discours communautariste pour revenir vers un discours d‘intégration et d‘union nationale ; tourne le dos à tout discours de repentance pour aller vers un discours d‘espérance. C'est ça la leçon Obama ! »

    Dominique de Villepin dans le journal de 13 heures de France 2 du 5 novembre : « Je ne crois pas que la discrimination positive soit la solution. Elle ne l‘est pas aux États-Unis, donc je ne crois pas qu'on puisse transposer des systèmes qui souvent n‘ont pas donné les résultats que l‘on espérait dans le pays même qui les a créés. »

    Catégories : Discrimination positive, Politique
  • Offensive en vue sur la République française !

    En France, nos journaux et une partie de notre classe politique ânonnent déjà en chœur que notre société devrait s’inspirer du modèle inégalitaire américain au motif que ce dernier aurait apporté, par l’ascension de Barack Obama, la démonstration pleine et entière de sa supériorité sur le modèle français.

    Si Barack Obama est élu, nous assisterons vraisemblablement à une vaste offensive de la part de tous ceux qui, de  France comme depuis l’étranger, tentent de faire disparaître ce qu’il reste à la France de son âme ; ce qui en somme représente l’incarnation de son histoire. Lorsque je mentionne l’étranger, je vise justement les États-Unis d’Amérique. Nos banlieues sont un de leurs terrains d’action : ils y investissent pour enraciner, chez les jeunes de l’immigration maghrébine et africaine, le culte de leur modèle communautariste, dans l’espoir que ces jeunes porteront un jour, à tous les niveaux du monde politique, le combat contre les principes républicains qui fondent la France.

    Pourtant, l’histoire récente nous a démontré que les Américains ne voyaient parfois pas plus loin que le bout de leur nez (Afghanistan, Irak) ; mais qu’à cela ne tienne ! Ils éprouvent manifestement encore de sérieuses difficultés à tirer les enseignements de leurs échecs, et continuent de voir le reste du monde comme un ennemi potentiel, d’où leur stratégie qui consiste à toujours diviser pour mieux régner, y compris à l’intérieur de pays amis de longue date tels que la France. Existe-t-il un seul homme politique français qui se soit élevé contre cette inadmissible infiltration de notre territoire, des plus dangereuses pour notre avenir à tous ? Pas à ma connaissance !

    Je lis et j’entends beaucoup d’interventions qui vont dans le même sens : ce serait bien qu’un Noir soit élu, et si les Américains n’élisaient pas Barack Obama alors ce serait, à coup sûr, qu’ils sont majoritairement racistes ! C’est également ce qu’ont professé les élites américaines tout au long de ces dernières semaines. Comment oser dire ensuite que le vote se sera fait en totale conscience, et aucunement soumis à la pression de l’esprit de repentance ? Imaginez un seul instant que d’aucuns se permettent d’émettre l’opinion que c’est un Blanc qu’il faudrait élire… Comment les « élites » ne prennent-elles pas conscience que ce sont elles qui adoptent des comportements racistes, en considérant l’autre par le biais de sa couleur de peau ou du degré de frisure de son cheveu ?

    Édito du journal le Monde, le 3 novembre : « Mais, pour amorcer le redressement, le démocrate Barack Obama nous paraît beaucoup mieux placé que le républicain John McCain. Plusieurs raisons à cela. La première tient à l'humeur du pays : l'arrivée d'un Métis de 47 ans à la Maison Blanche serait un signe de confiance de l'Amérique en elle-même, en ses valeurs les plus hautes, en sa capacité à surmonter le drame majeur de son passé - le racisme et l'esclavage. Ce serait déjà beaucoup, et tiendrait lieu d'exemple bien au-delà des États-Unis […] Mais un Barack Hussein Obama, par sa seule personnalité, serait beaucoup plus en phase avec un monde dont l'Occident n'est plus le centre économique et politique - un monde plus métissé. »

    Hervé Morin, ministre de la défense, le 29 octobre sur Canal+ : « Les États-Unis montrent quelque chose que la France n’est pas capable de faire. C’est, premièrement, de porter à la magistrature suprême un Noir là où nous ne sommes pas capables dans notre pays d’avoir un seul député issu de l’une des minorités visibles, comme on les appelle, et les États-Unis démontrent qu’ils ont une capacité de promotion sociale, d’ascenseur social et d’égalité des chances absolument extraordinaire. Il y a à la fois de grandes inégalités, mais c’est un pays qui est capable de pouvoir transcender un certain nombre de réticences que dans notre pays on a bien du mal à évacuer. »

    Ce ne sont que quelques exemples d’interventions parmi tant d’autres, comme celle de Rama Yade sur Canal+ : « Il n’y a pas de députés, à part George Pau-Langevin mais elle est Antillaise, bon ! » Traduisez : George Pau-Langevin ne compte pas, car elle n’est pas une vraie Noire… Mais pour qui se prend Rama Yade, qui vient régulièrement blâmer la France, elle qui, débarquée à l’âge de 8 ans, n’a dû sa fulgurante ascension qu’à son appartenance à la « diversité », comme l’a exprimé Nicolas Sarkozy ? Quand les Français de souche comprendront-ils que dans l'intérêt de tous, ils ne doivent plus accepter de se laisser flageller ?

    Alors, à tous les VRP de l’ignorance qui abondent dans la facilité du superficiel et de la légèreté d’analyse, je dédie ces extraits du discours de Barack Obama au sujet du modèle américain. Qu’ils en prennent de la graine !

    Mais avant de vous laisser lire ces passages de son discours, une dernière observation : je n’ai véritablement aucun parti pris dans l’élection américaine, mais selon de nombreux observateurs, Barack Obama devra sa probable élection au fait que la société américaine n’était pas prête à élire une femme. Pour mémoire, le Pakistan avait su confier les rênes de son destin à Benazir Bhutto. Méfions-nous donc des jugements à l’emporte-pièce…

    Barack Obama, Philadelphie, le 18 mars 2008 : « J’ai choisi de me présenter à la présidence à ce moment de l’histoire parce que je crois profondément que nous ne pourrons faire face aux défis de notre temps sans que nous ne les résolvions tous ensemble – sans que nous ne perfectionnions notre union en comprenant que nous pouvons avoir des histoires différentes mais que nous avons des espoirs communs ; que nous pouvons ne pas nous ressembler et que nous pouvons ne pas venir du même endroit, mais que nous voulons tous aller dans la même direction – vers un avenir meilleur pour nos enfants et nos petits-enfants. Cette croyance vient de ma foi inébranlable dans l’intégrité et la générosité du peuple américain. Mais elle vient aussi de ma propre histoire américaine. […]

    C’est une histoire qui ne fait pas de moi le plus conventionnel des candidats. Mais c’est une histoire qui a imprimé dans mes gènes l’idée que cette nation est plus qu’une somme de ses composantes – à partir de cette multiplicité nous sommes véritablement un. Durant la première année de campagne, contrairement à toutes les prédictions, nous avons vu combien le peuple américain avait soif de ce message d’unité. En dépit de la tentation de voir ma candidature à travers le prisme purement racial, nous avons remporté des victoires décisives dans des États avec quelques-unes des plus importantes populations blanches du pays. […]

    Et cependant ce n’est qu’au cours des deux dernières semaines que le débat sur la race a pris une tournure particulièrement décisive. À l’une des extrémités du spectre, nous avons entendu que ma candidature ne serait qu’un exercice de discrimination positive (affirmative action) ; qu’elle serait basée sur le désir de libéraux idéalistes d’obtenir une réconciliation à bon marché. À l’opposé, nous avons entendu mon ancien pasteur, le révérend Jérémiah Wright, utiliser un langage incendiaire pour exprimer des vues qui peuvent approfondir la fracture raciale mais qui dénigre la grandeur et la bonté de notre nation ; cela offense véritablement autant les Noirs que les Blancs.

    J’ai déjà condamné, en termes sans équivoque les déclarations du Révérend Wright qui ont causé cette controverse […] Au contraire, elles expriment une vue déformée de ce pays, une vue selon laquelle le racisme blanc est endémique […]

    Ainsi, les propos du Révérend Wright n’étaient pas seulement faux mais diviseurs, diviseurs à un moment où nous avons besoin d’unité ; ils étaient racialement chargés à un moment où nous avons besoin de résoudre ensemble des problèmes énormes […]

    En fait une colère similaire existe dans certains secteurs de la communauté blanche. Beaucoup de Blancs de la classe ouvrière et de la classe moyenne ne ressentent pas qu’ils ont été particulièrement privilégiés par leur race. Leur expérience est celle d’immigrants – en ce qui les concerne personne ne leur a rien donné. Ils ont construit de leurs propres mains. Ils ont travaillé dur toute leur vie, et souvent pour voir leur emploi partir au delà des mers ou leur retraite disparaître après une vie entière de travail. Ils sont anxieux de l’avenir et voient leurs rêves s’évanouir ; dans une époque de salaires bloqués et de compétition globale, les opportunités apparaissent comme un jeu de sommes nulles, dans lequel vos rêves se forment à mes dépens. Ainsi quand on leur dit d’envoyer leurs enfants à l’école à l’autre bout de la ville, quand ils entendent qu’un Africain Américain a obtenu un bon emploi ou une place dans un bon collège en raison d’une injustice qu’ils n’ont pas commise (la discrimination positive), quand on leur dit que leurs peurs à propos de la criminalité dans les quartiers urbains relèvent de préjugés, leur ressentiment s’accroît. De même que parfois dans la communauté noire, ce ressentiment n’est pas toujours exprimé de manière policée. Mais il a façonné le paysage politique depuis au moins une génération. La colère envers l’aide sociale et la discrimination positive a aidé à forger la coalition de Reagan. […]

    Et pourtant, repousser les ressentiments des Américains blancs, les stigmatiser comme mal orientés et même racistes, sans reconnaître qu’ils sont enracinés dans des soucis légitimes – cela aussi approfondit la division raciale et bloque le chemin de la compréhension.

    Voilà où nous en sommes aujourd’hui. C’est une impasse raciale dont nous sommes prisonniers depuis des années. […] »

    Catégories : Discrimination positive, Politique
  • L'enfer est pavé de bonnes intentions

    Je lis toujours avec la plus grande attention tous les commentaires qui me sont envoyés, même si je ne les poste pas tous. Aussi, l’objectif du présent billet est-il un peu de présenter mes excuses à ceux dont les réactions ne sont pas publiées.

    Il m’arrive d’être bouleversée par leurs contenus, tant la souffrance qui s’y exprime est vive. Je veux dire à leurs auteurs, le plus simplement du monde, que je partage leur douleur ainsi que leur refus de ce qu’il advient de notre pays la France.

    Alors, pourquoi ne pas avoir publié certains messages de mes lecteurs ? Pour bien connaître le sujet que j’ai traité dans Le puzzle de l’intégration, je sais que la souffrance très vive qui s’exprime au travers de leurs messages à propos de l’identité française commence à être partagée par des Français issus de l’immigration maghrébine et africaine. Il n’est pour moi, humainement pas acceptable d’ignorer cette souffrance et de jouer sans le vouloir, le jeu de ceux qui poussent à cliver les Français selon l’origine ethnique ou raciale ou qui réduisent le problème de l’intégration à une problématique d’aides sociales qui seraient trop généreuses en France.

    Les choses sont en effet autrement plus complexes que d’imaginer pouvoir placer d’un côté les « Blancs » qui seraient, eux, spontanément défenseurs de la France, et de l’autre des personnes au teint basané ou aux cheveux ondulés, frisés ou crépés, qui seraient d’emblée des adversaires potentiels de la France. NON, immigration ne rime pas nécessairement avec danger pour l’identité nationale, comme le laisse sous-entendre l’intitulé schizophrène d’un ministère que jamais la France n’aurait dû voir créer sous ses cieux. Tout ce qui participe à la provocation, tout ce qui crée de la souffrance, empêche l’installation du climat de sérénité qui permettra de voir le sujet de l’intégration enfin traité dans toutes ses dimensions, et non de manière superficielle comme il l’a trop souvent été, et continue de l’être.

    J’ajoute que le problème soulevé par l’immigration ne trouvera pas sa solution dans le tarissement des aides sociales. Bien sûr, comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, le circuit de ces aides devra être impérativement repensé, afin de cibler au plus près le projet éducatif et culturel des enfants ; j’en explique longuement les raisons dans Le puzzle de l’intégration.

    Comme j’ai tenté de le montrer dans mon ouvrage, le sujet de l’intégration est très complexe, et nous payons à présent le prix fort pour l’avoir réduit à quelques-unes des innombrables pièces du puzzle qui le constitue. Aussi, j’espère que les Français réussiront un jour à tirer les enseignements des errements passés, sans pour autant clouer au pilori ceux qui s’étaient trompés. Mais ce qui me met fort en colère, c’est que d’aucuns puissent persister dans l’erreur alors que tout concourt à leur ouvrir les yeux. Aujourd’hui, malgré la gravité de la situation, des hommes et des femmes politiques continuent en effet de se voiler la face, et servent encore et toujours au peuple français des explications stupides et des propositions d’action qui prêteraient à sourire si le sujet n’était pas aussi lourd de conséquences pour la paix civile dans notre pays. Les réactions de notre classe politique après que l’hymne national eut été conspué au cours d’un récent match de football en sont une illustration. Je reviendrai sur ce point dans un prochain billet.

    L’instrumentalisation de ce sujet a conduit à diffuser l’idée que les immigrés et leurs descendants portaient la responsabilité première de la dramatique situation de la France. Je ne partage pas cet avis. Je considère en effet qu’il appartenait, et qu’il appartient encore et toujours, à notre classe politique de faire respecter, sur le sol de France, les idéaux propres à la société française. Si elle avait joué son rôle, jamais la France ne se serait trouvée, comme elle l’est à présent, au bord du gouffre. De très nombreux hommes politiques persistent à envoyer le signal que la France pourrait un jour accepter de rompre avec ses fondamentaux. Comble de l’absurde ou de l’ignorance, ces mêmes hommes politiques viennent ensuite pousser des cris d’orfraie lorsque les symboles de cette même France sont outragés…

    Désormais, la question qui se pose est d’identifier ce qui risque de faire franchir à la France le pas fatal, celui qui la précipitera dans le gouffre. Ma réponse sera courte et précise : la descente aux enfers, sans possibilité de retour, commencera avec l’introduction de la « diversité » dans le préambule de la Constitution en substitution au caractère indivisible du peuple de France (la diversité est en réalité le cheval de Troie de la discrimination positive, habilement déguisée en « respect effectif du principe d’égalité »); et avec l’abrogation de la laïcité pour la remplacer par le traquenard de la « laïcité positive ». Si je devais souffler un seul slogan au peuple français, ce serait :

    « Touche pas à mon préambule ! »

    Catégories : Politique